Résumé :
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Introduction de Hubert Juin Lawrence Durrell, qui révéla hors de chez nous l'œuvre de Claude Seignolle, n'hésitait pas à voir en lui le plus grand conteur fantastique de notre siècle. Opinion partagée par Cendrars, Mac Orlan, Hubert Juin et quelques autres. La Malvenue, peut-être le chef-d'œuvre de l'art signollesque, nous transporte dans la Sologne d'il y a plus de cent ans, à une époque où la nuit savait faire peur et où les choses de l'amour traînaient encore après elles un arrière-parfum de sorcellerie. Un roman bien fait pour empêcher le lecteur de dormir, travaillé au corps par une trouble sensualité, qui nous convie à approcher sans précaution ce mystère moins simple qu'il n'y paraît (le seul peut-être : la peur du noir.) « Vous voulez frissonner ?
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