Résumé :
|
Il y a dans le travail d'Enki Bilal quelque chose de la force hallucinogène de William Burroughs, avec en plus l'oxymore du sang bleu, de la froideur brûlante des femmes correspondantes confidentes... La chaleur de la vie malgré les blessures : des traces des hôtels de l'Est et des pilules d'amphétamines si Kafka les avait connues..." Yann Moulier Boutang. "Froid Equateur est l'aboutissement d'un style, d'un regard, d'un délire créatif dans lesquels l'horreur des temps à venir n'a heureusement pas éliminé toute forme d'humour.
|